Les fantasmes les plus fréquents en expérience intime
Une expérience intime, ce n’est pas seulement de la lingerie ou un sourire devant un objectif.
C’est une porte ouverte sur nos fantasmes.
Parfois, ils restent dans les mots, les regards, la tension. Parfois, ils se vivent pleinement, sans filtre.
Le rôle de Blueberry Corner n’est pas de juger ni de forcer, mais d’offrir un espace où ces désirs peuvent se dire, se tester, se franchir.
1. Le solo : se donner du plaisir en étant vu·e
Se masturber sous un regard, c’est un fantasme puissant.
Pour beaucoup de femmes, c’est l’excitation de s’assumer : doigts qui glissent, sextoy qui vibre, souffle qui s’emballe.
Ce moment intime, habituellement caché, devient un acte de liberté.
Il ne s’agit pas d’exhibition pour choquer, mais d’oser se montrer à soi-même… et à l’autre.
2. Le couple : complicité, tension et ouverture
À deux, les fantasmes explosent.
Certains couples viennent pour se redécouvrir : se caresser, se murmurer, s’embrasser autrement.
Parfois, ça reste un jeu de tension. Parfois, ça va jusqu’à l’orgasme.
Mon rôle n’est pas de dicter, mais d’ouvrir le cadre, de permettre que ça arrive.
Souvent, ces expériences révèlent un goût caché pour l’exhibition, ou une envie de franchir une limite ensemble.
3. Le trio (ou plus) : pluralité et liberté
Le fantasme du “plusieurs” revient souvent :
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un couple polyamoureux qui veut vivre son intimité à trois,
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un mari qui regarde sa femme avec un autre (candaulisme),
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un cercle de corps qui s’entrelacent sans honte.
Dans ce cadre, je ne suis pas là pour “prendre part” sexuellement, mais pour être le témoin et le passeur : celui qui rend le passage possible, qui offre un espace sûr où la pluralité devient réalité.
4. Les jeux de pouvoir : dominer, céder, oser
Beaucoup viennent avec des envies de BDSM doux : attacher, bander les yeux, sentir la force ou l’abandon.
Ce n’est pas une performance porno, c’est une mise en scène intime.
Ici, on travaille avec des règles claires : consentement, mots d’arrêt, respect absolu.
Le fantasme n’est pas la douleur, mais l’intensité de se donner et de se recevoir autrement.
5. Les transgressions : sortir du cadre
Certains fantasmes consistent à jouer avec l’interdit :
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la possibilité d’être vu·e,
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l’envie d’un lieu atypique,
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la curiosité de mélanger les genres,
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ou simplement le plaisir de franchir un tabou personnel.
Ce ne sont pas des “délires extrêmes”, mais des expériences de passage : sortir du cadre habituel, pour se redéfinir.
Conclusion : le vrai fantasme
Le fantasme le plus fréquent, au fond, c’est la liberté.
La liberté de dire : “Voilà ce que je désire, voilà ce que je veux vivre.”
Blueberry Corner est un espace pour ça : pas pour imposer un scénario, mais pour permettre un passage.

